Notes

2.1 Le stimulus

Le stimulus est la face concrète du signe, ce qui, dans la communicationn le rend transmissivke par le canal, en direction de nos cinq sens. Exemple : la /forme/ du dessin ou de la carte, la /position/ de la /girouette/, en tant qu’elles atteignent mes sens, la /lumière rouge/ frappant ma rétine et me fournissant l’indication «stop», les /sons du langage ou de la musicuque, frappant mon tympa, les / sensations tactiles / au jeu de colin-maillard, le /goût de l’huuile d’olive/, me communiquant «l’origine méditerranée» de tel plat, (...) p.93

2.2 Le signifiant

2.3 Le signifié

Le signifié (parfois écrit Sé) est frequemment défini comme l’image mentale suscitée par le signifiant, et correspondant au référent. C’est, une premiere approximation, la représentation que nous faisons d’une classe de choses. Exemple: l’idée de «arbre» qui nait en nous lorsque nous entendons les son /aRbR/, l’idée de «sergent» suscitée par la vision de /sardines/ sur la manche d’une personne vêtue de kaki, l’idée de «pizza» suscitée par certaines / sensations olfactives/, l’indication «stop» fournie par une /feu rouge/.p.95 et 96

2.4 Le référent

La notion de référent (Ref.) a déjà été approchée lorsque notre étude du shéma de la communication: c’est ce dont il est question dans un processus de communication ou de signification donné. Une communication donnée, écrivons-nous; c’est dire que le référent est particulier (ce qui ne veut pas dire singulier, singulier étant ici entendu par opposition à pluriel): c’est une actualisation du signifié.

5.2 Forme et substance, expression et contenu

«On comprend maintenant que , dans le schéma classique de la communication (signifiant/signifié, etc) c’est le canal qui donne au signe sa dimension matérielle. Le système de l’expression apporte une forme (formalise), afin de configurer le signe en substance communicable. Une forme, en effet, ne ppeut être communiquée. Pour l’être, elle doit se matérialiser dans une substance. De même, en géométrie, une ligne n’a pas d’épaisseur, n’étaant qu’une abstraction; mais on peut représenter cette abstraction par une manifestation graphique, dotée d’épaisseur, voire de couleur, épaisseur et couleur qui n’ont en soi aucune pertiencne dans cette sémiotique-là.